Émission d’obligations communautaires
Une façon originale de soutenir notre intervention
L’Autorité des Marchés Financiers (AMF) permet aux organismes communautaires d’émettre des obligations communautaires sans l’obligation de faire prospectus et sans devoir passer par un courtier. Pour permettre un meilleur financement du communautaire, aucun courtier ne doit être payé pour l’émission de ces obligations, ni du côté de l’investisseur, ni du côté de l’émetteur.
Trois organismes ont déjà lancé leur émission d’obligation:
- Le Grand Costumier de Radio-Canada
- Le Cinéma du Parc
- Les Ateliers 7 à nous
Pour consolider l’ensemble de ses actions sociales, le Journal de la Rue prépare une émission d’obligations communautaires. Les obligations, en multiple de 1 000$, peuvent recevoir des rendements variant entre 1% et 6,5% d’intérêts selon le montant et la durée des obligations.
Pour toutes informations concernant l’émission d’obligations communautaires du Journal de la Rue, contacter Raymond Viger
Courriel : raymondviger@hotmail.com Tél. : (514) 256-9000.
Qu’est-ce qu’une obligation communautaire?
Les obligations communautaires sont des titres de créances et ont des caractéristiques semblables à toutes obligations soit : une valeur nominale, une échéance, une rémunération (taux d’intérêt) etc.
Elles sont accessibles à tous mais peuvent être émises uniquement par des organismes à but non lucratif. Elles sont proposées à la communauté sans intermédiaire et constitue un modèle de financement participatif pair-à-pair, qui permet aux citoyens d’investir leur épargne dans des projets qui leur tiennent à cœur.
Les obligations communautaires sont une opportunité pour les organismes à but non lucratif de mobiliser de nouvelles sources de capitaux privés auprès de leur communauté de soutien, d’assurer leur développement et de renforcer leur ancrage territorial. Elles participent à un mouvement de désintermédiation du financement et d’une volonté d’implication de la communauté.
Elles sont utilisées depuis plusieurs années en Ontario, notamment par le Center for Social Innovation (CSI) à Toronto, et à plus petite échelle au Québec, mais restent encore peu connues et sous-exploitées.
Si vous préférez faire un don. L’organisme Survivre, qui pourra vous remettre un reçu de charité
Merci pour votre soutien, votre présence et votre implication.
Qui ne devrait pas investir dans des obligations communautaires
- Les obligations communautaires ne sont pas garanties. Il faut donc être un investisseur capable de perdre de l’argent sans mettre en péril ses finances personnelles.
- Si vous avez des dettes sur vos cartes de crédit ou autre, commencez par les payer. Une carte de crédit peut vous coûter jusqu’à 29% d’intérêt par année. Aucun placement communautaire ne peut vous offrir un rendement qui pourrait justifier de ne pas payer vos dettes.
- Il existe des placements de base qu’un citoyen doit envisager avant même de penser à investir dans un organisme communautaire. Un RÉER parce que déductible d’impôt en plus d’être un placement garanti. Il est un véhicule qui doit être priorisé aux obligations communautaires.
- L’achat d’une maison avec l’avantage de pouvoir RAPPER avec son RÉER devrait passer bien avant l’idée d’investir dans un organisme communautaire.
- Les banques et les caisses offrent des certificats de dépôt garantis. Jusqu’à 100 000$, votre investissement est garanti à 100% par la Société d’assurance dépôt du Canada.
Recherché, investisseurs particuliers
- Vous avez payé toutes vos cartes de crédit, votre automobile et autres prêts.
- Vous êtes propriétaire de votre maison et l’hypothèque à payer est une goutte d’eau dans votre budget.
- Vous cotisez au maximum dans votre RÉER.
- Vous avez des certificats de dépôts, pour vous et pour votre conjoint, atteignant les 100 000$ garantis par la Société d’assurance dépôt du Canada.
- Vous pouvez prendre aisément des vacances à travers le monde même si vous perdez votre investissement communautaire.
Si vous répondez à ces critères très restrictifs, on pourrait envisager d’accepter votre investissement dans une obligation communautaire du Journal de la Rue. Vous pouvez alors me contacter: Raymond Viger (514) 256-4467. raymondviger@hotmail.com
Pour tous les autres, soignez votre santé financière. L’argent ne fait pas le bonheur. Mais il peut éviter de s’arracher les cheveux avec les comptes à payer. Il peut aussi vous permettre de bénéficier d’une belle retraite dans le plaisir et le calme. L’argent est un outil qui doit travailler pour vous.
Si vous préférez faire un don. L’organisme Survivre, qui pourra vous remettre un reçu de charité.
Merci de partager dans vos réseaux.
Raymond Viger (514) 256-9000. raymondviger@hotmail.com.